Highland Copper annonce les résultats positifs de l’étude de faisabilité pour son projet Copperwood au Michigan

June 15, 2018

Highland Copper annonce les résultats positifs de l’étude de faisabilité pour son projet Copperwood au Michigan – – un TRI de 18 % après impôt, des coûts d’immobilisations de 275 millions $ et une production payable moyenne de cuivre de 61,7 millions de livres par année.

Longueuil (Canada), le 15 juin 2018. La société Highland Copper Company Inc. (TSXV : HI; OTCQB : HDRSF) (« Highland » ou la « société ») est heureuse d’annoncer les résultats d’une étude de faisabilité (l’ « étude de faisabilité ») pour son projet Copperwood (le « projet Copperwood »), qu’elle détient à part entière, situé dans le comté de Gogebic, dans l’ouest de la péninsule supérieure du Michigan (États-Unis).

Faits saillants de l’étude de faisabilité du projet Copperwood

(Tous les montants figurant dans le présent communiqué sont en dollars US, sauf indication contraire. En raison de l’arrondissement, les chiffres présentés dans le communiqué peuvent ne pas correspondre exactement aux totaux indiqués.)

  • Un taux de rendement interne (« TRI ») après impôt de 18 %
  • Des dépenses d’immobilisations initiales de 245 millions $, nettes de recettes de préproduction de 30 millions $
  • Des coûts décaissés sur la durée de vie de la mine de 1,53 $/lb, incluant les redevances, et de 1,29 $/lb durant les cinq premières années de production
  • Des réserves prouvées et probables de 25,4 Mt titrant 1,43 % Cu et 3,83 g/t Ag, contenant 801,8 millions de livres de cuivre et 3,1 millions d’onces d’argent
  • Des ressources minérales supplémentaires de 49,9 Mt titrant 1,15 % Cu et 3,42 g/t Ag dans la catégorie des ressources présumées, contenant 1,3 milliard de livres de cuivre et 5,5 millions d’onces d’argent pour une teneur de coupure de 1 % Cu
  • Une production payable annuelle moyenne de cuivre sur la vie de la mine de 61,7 millions de livres, en plus de 100 570 onces d’argent
  • Une production initiale de cuivre prévue pour le début de 202

« C’est un grand pas en avant pour le projet Copperwood, affirme Denis Miville-Deschênes, président et chef de la direction de Highland Copper. L’étude de faisabilité démontre l’important potentiel de ce projet situé dans un excellent district minier historique. À la lumière des résultats de l’étude, nous pouvons maintenant nous concentrer sur la mise en place d’un montage financier complet, ajoute-til. La mise en valeur d’une mine au projet Copperwood constitue une occasion fantastique de créer des centaines d’emplois dans la région. » L’étude de faisabilité a été réalisée par G Services Miniers inc. (« GSMI ») et sous la supervision de cette dernière, en collaboration avec SGS Canada Inc. (Lakefield), Lycopodium Minerals Canada Ltd, Golder Associés et Foth Infrastructure and Environment. L’étude présente un survol exhaustif du projet Copperwood et définit un projet viable du point de vue économique et solide des points de vue technique et environnemental.

Possibilités d’accroître la valeur du projet Copperwood

Highland et ses consultants ont cerné plusieurs possibilités d’accroître la valeur du projet Copperwood. Elles comprennent le transfert des ressources minérales présumées dans une catégorie supérieure, l’augmentation de la productivité de la mine grâce à des technologies novatrices d’extraction en continu, la réalisation de nouvelles études géotechniques afin d’optimiser la récupération de minerai et de minimiser la dilution de ce dernier, l’examen des options de disposition des résidus et la réalisation de nouveaux essais pour maximiser les taux de récupération métallurgique.

Le projet Copperwood

La propriété du projet Copperwood est située à environ 22,5 km par la route au nord de Wakefield et à 40 km de la ville d’Ironwood, qui se trouvent toutes deux dans le comté de Gogebic, dans la partie occidentale de la péninsule supérieure du Michigan. Le secteur du projet est situé à la bordure sud de la province cuprifère de Keweenaw et est sous-tendu par des sédiments clastiques du groupe d’Oronto, incluant les formations de Copper Harbor, Nonesuch et Freda.

Le gisement de Copperwood et ses gisements « satellites » se trouvent dans les flancs du synclinal de Presque Isle, d’inclinaison nord-ouest, au sein de la formation de Nonesuch. Cette dernière renferme deux séquences minéralisées, dont une située à sa base, la Lower Copper Bearing Sequence (« LCBS », séquence cuprifère inférieure), et une plus haute dans la stratigraphie, l’Upper Copper Bearing Sequence (« UCBS », séquence cuprifère supérieure), séparées par des sédiments faiblement minéralisés d’épaisseur variant de 0,5 m à 6,0 m.

La chalcocite est le seul sulfure de cuivre, présente principalement en disséminations dans des shales et siltstones. Les grains disséminés individuels de chalcocite sont le plus souvent très fins, d’un diamètre allant de 5 microns à 50 microns. Le gisement de Copperwood est relativement subhorizontal, d’une épaisseur variant de 1,6 m à 3,7 m.

La chalcocite est le seul sulfure de cuivre, présente principalement en disséminations dans des shales et siltstones. Les grains disséminés individuels de chalcocite sont le plus souvent très fins, d’un diamètre allant de 5 microns à 50 microns. Le gisement de Copperwood est relativement subhorizontal, d’une épaisseur variant de 1,6 m à 3,7 m.

Ressources minérales

GSMI a préparé une estimation des ressources minérales pour le projet Copperwood à la lumière des données fournies pour la période allant jusqu’au 12 avril 2018, inclusivement. L’estimation des ressources a été préparée conformément aux Normes de l’ICM sur les ressources et les réserves minérales (adoptées le 10 mai 2014) et est rapportée conformément au Règlement 43-101 sur l’information concernant les projets miniers. La catégorisation des ressources minérales, soit la détermination du degré de confiance associé à ces dernières, a été réalisée en étroite conformité aux Normes de l’ICM sur les ressources et les réserves minérales. De l’opinion de GSMI, l’évaluation des ressources décrite ici constitue une représentation raisonnable des ressources minérales globales se trouvant au site du projet Copperwood étant donné le degré et l’espacement actuels de l’échantillonnage.

L’estimation des ressources minérales a été préparée sous la supervision de Réjean Sirois, ing., de GSMI, une « personne qualifiée » indépendante aux termes du Règlement 43-101. Les logiciels GEMSMC de Geovia et GeoMC de Leapfrog ont été utilisés pour faciliter le processus d’estimation des ressources.

Les ressources minérales mesurées et indiquées totales du gisement de Copperwood sont estimées à 49,3 millions de tonnes titrant en moyenne 1,54 % Cu et 3,76 g/t Ag, et contiennent 1,68 milliard de livres de cuivre et 5,9 millions d’onces d’argent pour une teneur de coupure de 1,0 % Cu pour les LCBS et UCBS combinées. Les ressources minérales présumées sont estimées à 1,6 million de tonnes titrant en moyenne 1,18 % Cu et 1,55 g/t Ag et contiennent 43 millions de livres de cuivre et 0,1 million d’onces d’argent pour une teneur de coupure de 1,0 % Cu.

Les ressources minérales présumées totales situées dans les gisements satellites sont estimées à 49,9 millions de tonnes titrant 1,15 % Cu et 3,42 g/t Ag et contiennent 1,27 milliard de livres de cuivre et 5,5 millions d’onces d’argent pour une teneur de coupure de 1,0 % Cu pour les LCBS et UCBS combinées.

Estimation des ressources minérales

Teneur de coupure de 1,0 % Cu – au 30 avril 2018

Remarques concernant l’estimation des ressources minérales :

  1. Les ressources minérales présentées ont été estimées en utilisant un prix du cuivre de 3,00 $/lb et un prix de l’argent de 18 $/oz.
  2. Des hypothèses de 96,5 % de cuivre payable et 90 % d’argent payable sous-tendent l’estimation.
  3. L’étude de faisabilité du projet Copperwood fait état d’essais métallurgiques ayant donné des taux de récupération de 86 % pour le cuivre et 73,5 % pour l’argent.
  4. Une teneur de coupure de 1,0 % Cu a été utilisée, sur la base d’un scénario d’extraction par chambres et piliers.
  5. Les coûts d’exploitation sont basés sur une usine de transformation située sur le site du projet Copperwood.
  6. En présupposant un prix du cuivre à 3,00 $/lb, une redevance variable de 3,0 % sur les recettes calculées à la sortie de la fonderie (RSF) pour le projet Copperwood est payable aux détenteurs de baux. En présupposant la conclusion de l’acquisition du projet White Pine, une redevance de 3,0 % sur les RSF pour le projet Copperwood payable à Redevances Aurifères Osisko Ltée est réduite à une redevance sur les RSF de 1,5 %.
  7. Les forages utilisés pour les ressources mesurées, indiquées et présumées sont espacés de 175 m, 250 m et 350 m, respectivement.
  8. Aucune dilution, ni perte de minerai durant l’extraction n’a été prise en compte dans l’estimation des ressources minérales.
  9. Les masses volumiques apparentes sont basées sur le type de roche.
  10. La catégorisation des ressources minérales est conforme aux définitions de l’ICM.
  11. La personne qualifiée pour l’estimation est Réjean Sirois, ing., vice-président, géologie et ressources, chez GSMI. L’estimation est faite en date du 30 avril 2018.
  12. La viabilité économique des ressources minérales qui ne sont pas des réserves minérales n’a pas été démontrée. Des facteurs associés à l’environnement, aux permis, aux titres de propriété, à la commercialisation, aux questions d’ordre juridique, fiscal, sociopolitique, ou tout autre facteur pertinent pourraient avoir une incidence substantielle sur l’estimation des ressources minérales.
  13. LCBS : Lower Copper Bearing Sequence.
  14. UCBS : Upper Copper Bearing Sequence.
  15. Les quantités et teneurs des ressources présumées établies dans la présente estimation sont, de par leur nature, incertaines, et les travaux d’exploration réalisés ne sont pas suffisants pour permettre de les inscrire dans les catégories des ressources indiquées ou mesurées.

Réserves minérales

L’estimation des réserves minérales a été préparée par Carl Michaud, ing., de GSMI, conformément aux Normes de l’ICM sur les ressources et les réserves minérales. Les réserves minérales sont basées sur les ressources minérales mesurées et indiquées effectives au 30 avril 2018 et ne comprennent pas les ressources minérales présumées. Les ressources minérales mesurées et indiquées comprennent les réserves prouvées et probables.

Les réserves prouvées et probables présentées ci-dessous ont été estimées à la lumière des ressources minérales mesurées et indiquées présentées ci-dessus et des travaux réalisés pour l’étude de faisabilité.

Remarques :

  1. Les réserves minérales ont été estimées en utilisant les Normes de l’ICM sur les ressources et les réserves minérales, Définitions et lignes directrices, préparées par le Comité ad hoc sur les définitions des réserves de l’ICM et adoptées par le conseil de l’ICM le 10 mai 2014.
  2. Les réserves minérales sont estimées pour une teneur de coupure de 1 % Cu. La teneur de coupure peut varier en fonction du contexte économique et des paramètres d’exploitation.
  3. Les réserves minérales sont estimées en utilisant un prix du cuivre à long terme de 3,00 $/lb et un prix de l’argent de 16,00 $/oz.
  4. En présupposant un prix du cuivre à 3,00 $/lb, une redevance variable de 3,0 % sur les recettes calculées à la sortie de la fonderie (RSF) pour le projet Copperwood est payable aux détenteurs de baux. En présupposant la conclusion de l’acquisition du projet White Pine, une redevance de 3,0 % sur les RSF pour le projet Copperwood payable à Redevances Aurifères Osisko Ltée est réduite à une redevance sur les RSF de 1,5 %.
  5. Les réserves minérales sont estimées en utilisant une perte de minerai de 3 %, une dilution de 0,1 m pour le plancher et de 0,25 m pour le plafond des chambres et les travaux préparatoires.
  6. La viabilité économique des réserves minérales a été démontrée.
  7. Une hauteur minimum d’extraction de 2,1 m a été utilisée.
  8. Le taux de récupération du cuivre a été estimé à 86 %.
  9. La personne qualifiée pour l’estimation est Carl Michaud, ing., vice-président et directeur de l’ingénierie souterraine chez GSMI. L’estimation est faite en date du 25 mai 2018.
  10. Le nombre de tonnes métriques a été arrondi au millier le plus proche. Tout écart des totaux est dû aux effets d’arrondissement; l’arrondissement est conforme aux recommandations du Règlement 43-101.

Activités d’extraction et services

Il est proposé d’extraire le minerai du gisement par la méthode traditionnelle hautement mécanisée d’excavation de chambres et piliers par forage et sautage. Cette méthode consiste à extraire une série d’entrées et de travers-bancs dans le minerai, en laissant en place des piliers qui soutiennent le plafond. Les entrées, travers-bancs et piliers ont été dimensionnés à la lumière de l’analyse géotechnique des roches encaissantes locales et de l’expérience tirée d’autres mines présentant des conditions du sous-sol semblables.

L’accès à la mine se fera par une entrée en terre rectangulaire recouverte pour établir un portail à l’entrée de la mine à partir de la surface, située dans la partie centrale-ouest du gisement. La mine est composée de deux secteurs d’extraction, soit les secteurs ouest et est. La priorité sera accordée à la partie ouest, dont la zone minéralisée est plus épaisse et de plus forte teneur.

La mine est divisée en panneaux, qui consistent en au moins 12 chambres offrant plusieurs avancements où toutes les activités du cycle d’extraction peuvent être réalisées en parallèle pour permettre une forte productivité, contrairement à l’extraction en série que permet un seul avancement. Le cycle d’extraction comprend le forage, le chargement d’explosifs et le sautage, le déblaiement, l’écaillage et le boulonnage.

Il est prévu que les activités d’extraction se dérouleront en deux quarts de 10 heures chaque jour, 360 jours par année afin d’atteindre une cible de production de 2,4 Mt annuellement, ou 6 600 t par jour. Pour atteindre cette cible, un total de 7 à 9 panneaux doivent être en production en tout temps.

Les activités d’extraction commencent par le forage du front d’abattage à l’aide de foreuses hydrauliques électriques jumbos à deux bras. Chaque volée fait 4,25 m de longueur pour une cassure effective de 4,00 m. Les chambres font 6,1 m de largeur et leur hauteur varie selon l’épaisseur de la colonne de minerai. La hauteur dicte la productivité, qui varie d’un panneau à l’autre.

Le déblaiement se fera à l’aide de chargeurs-transporteurs sur pneus qui chargeront les déblais au front d’abattage et les transporteront jusqu’au lieu de chargement sur convoyeur établi pour le panneau de production. La performance des chargeurs-transporteurs variera selon la pente de la chambre et la distance. Les lieux de chargement sur convoyeur seront déplacés régulièrement au fil de la production dans le panneau pour qu’ils soient à moins de 250 m des avancements.

Il est prévu que l’écaillage des chambres se fera avec des chargeurs-transporteurs bas équipés d’un bras d’écaillage qui frotte le plafond pour retirer toutes les roches pouvant s’en détacher.

Une boulonneuse mécanique sera utilisée pour le boulonnage pour installer les soutènements du plafond et les boulons dans les parois. Dans les chambres, des boulons d’acier de 1,8 m sont requis dans un quadrillage de 1,2 m sur 1,2 m avec du grillage métallique. En outre, des boulons de friction sont prévus dans les piliers (c.-à-d., les parois) dans un quadrillage de 1,5 m sur 1,5 m avec du grillage métallique. Aux intersections de chambres, des boulons plus longs, de 2,4 m, seront utilisés.

La ventilation de la mine sera assurée par une cheminée d’air frais assurant un débit de 400 m3 /s et deux cheminées d’évacuation aux extrémités est et ouest de la mine. Le système de dénoyage consistera en six stations de pompage pouvant évacuer 2 220 l/min d’eau d’exhaure et d’eau souterraine s’infiltrant dans la mine.

Highland continue d’étudier la possibilité d’utiliser des résidus comme matériau de remblayage des chambres. Si cette approche était retenue, elle permettrait de réduire les coûts de disposition des résidus et de fermeture de la mine.

Production de métaux durant la vie de la mine

La production sur la durée de vie de la mine pour le projet Copperwood est présentée ci-dessous. La production de cuivre payable est estimée à 300 000 tonnes (660 millions de livres) pour une moyenne annuelle de 28 000 tonnes (61,7 millions de livres) sur la durée de 10,7 années de la vie de la mine, qui comprend une période de 3 mois de démarrage et d’augmentation progressive de la production. Le pourcentage payable est de 98,5 %, incluant une perte de concentré de 0,2 %. La production d’argent payable durant la vie de la mine est de 1,10 million d’onces pour une moyenne annuelle de 101 000 onces d’argent.

Traitement et métallurgie

La conception de l’usine de traitement pour le projet est basée sur un schéma de traitement métallurgique conçu pour produire du concentré de cuivre à un rythme nominal de 6 600 t/j et pour une disponibilité prévue de 91,3 %. Le schéma de traitement comprend le broyage semi-autogène en circuit fermé avec un broyeur à boulets visant un produit broyé primaire de 40 microns, le dégrossissage avec rebroyage du concentré, le finissage avec trois étapes de nettoyage, l’épaississement du concentré, la filtration et la disposition des résidus.

L’observation primaire des essais de variabilité a montré que la récupération du cuivre va de 77 % à ~90 % pour des teneurs du concentré allant de 20 % Cu à 29 % Cu. Le taux de récupération moyen global du cuivre est de 86 % pour une teneur pondérée moyenne du concentré de 24,7 % Cu. Des études démontrent qu’il pourrait être possible d’accroître la récupération du cuivre en optimisant la teneur du concentré et les réactifs.

Des études sont en cours pour évaluer la destination et l’option de transport optimales pour le concentré du gisement de Copperwood.

Environnement et permis

Des études environnementales de référence ont été réalisées pour le projet Copperwood de la fin de 2008 au printemps de 2011. Ces études ont été utilisées pour déterminer les conditions existantes et passées dans le secteur du projet et pour choisir l’emplacement potentiel des infrastructures dans une perspective de gestion de l’environnement et d’obtention de permis.

Une étude d’impact sur l’environnement a été préparée afin de respecter l’exigence de l’État du Michigan de la partie 632 de l’Act No. 451 des Public Acts of 1994 et ses modifications. Ce document décrit les études et la surveillance des conditions de référence réalisées pour le projet Copperwood, dont les aspects naturels, sociaux, économiques, culturels et historiques du milieu sur lesquels la conception du projet pourrait avoir un impact.

Afin de construire et d’exploiter le projet Copperwood, différents permis doivent être obtenus et convenus entre Highland et les organismes de réglementation environnementale aux niveaux tant étatique que fédéral. Highland maintient une approche ouverte et proactive envers les organismes de réglementation étatiques et fédéraux.

Les principaux permis environnementaux requis pour la mise en valeur du projet Copperwood comprennent les permis suivants : Part 632 Non-Ferrous Metallic Mining Permit (permis d’exploitation d’une mine de métaux non ferreux); Part 31 National Pollutant Discharge Elimination System Permit (permis national pour systèmes d’élimination de rejets de polluants); Part 55 Air Permit to Install (permis d’installation visant la qualité de l’air); Part 301 Inland Lakes and Streams Permit (permis visant les lacs et cours d’eau intérieurs); Part 303 Wetland Permit (permis visant les terres humides); Part 315 Dam Safety Permit (permis visant la sécurité des barrages); Part 325 Great Lakes Submerged Lands Permit (permis visant les terres submergées dans la région des Grands Lacs) et Section 10 US Army Corps of Engineers Water Intake Permit (permis de prise d’eau du US Army Corps of Engineers).

Highland a présenté des demandes de modification, de renouvellement ou de nouveaux permis (selon le cas) pour ces permis et s’attend à avoir tous les permis requis d’ici l’automne 2018.

Infrastructures électriques et de surface

La société envisage l’option d’une ligne électrique de 115 kV longue de 40 km aménagée par un fournisseur d’électricité bien établi dans l’État du Michigan. L’ingénierie détaillée débutera dans les prochains mois pour établir le meilleur trajet pour minimiser l’impact sur le milieu. Le Département des transports du Michigan sera responsable de la mise à niveau de la County Road 519 (route de comté 519).

Coûts d’immobilisations et d’exploitation

Les coûts d’immobilisations initiaux, y compris tous les coûts directs et indirects, sont estimés à 275 millions $, dont 22,9 millions $ pour les éventualités. La déduction de recettes de préproduction de 30,35 millions $ fait passer les dépenses d’immobilisations à 244,6 millions $.

Sommaire des dépenses d’immobilisations initiales

Les coûts d’exploitation comprennent les coûts d’extraction, de traitement, des services généraux et d’administration et du transport du concentré et les coûts de traitement et d’affinage du concentré. Les coûts de transport et de traitement du concentré et d’affinage sont déduits des recettes brutes pour calculer les recettes à la sortie de la fonderie (« RSF »). Ces dernières sont estimées, durant l’exploitation du projet, à 1 821 millions $, excluant 30,35 millions $ de RSF générées durant la préproduction et présentées comme étant déduites des dépenses d’immobilisations initiales. Les RSF moyennes sur la durée de vie de la mine sont de 2,80 $ la livre de cuivre payable. Les coûts d’exploitation moyens sur la durée de vie de la mine sont de 39,84 $ la tonne de minerai ou 1,53 $ la 8 livre de cuivre payable, l’extraction représentant 53,4 % du total des coûts d’exploitation, ou 21,26 $ la tonne de minerai.

Sommaire des dépenses d’immobilisations de maintien

Les dépenses d’immobilisations de maintien totales sur la durée de vie de la mine sont estimées à 156,5 millions $.

Sommaire des coûts d’exploitation

Remarque : La période de démarrage est exclue du calcul des coûts unitaires par tonne de minerai et par livre de Cu payable.

Analyse de sensibilité

Calendrier du projet

Le calendrier pour le projet Copperwood est présenté ci-dessous. Sous réserve de l’achèvement du montage financier et de l’obtention de tous les permis requis, la construction pourrait débuter en janvier 2019. Une période de construction de 27 mois permettrait un démarrage au premier trimestre de 2021, la production commerciale commençant au deuxième trimestre de 2021.

Sommaire des paramètres économiques du projet Copperwood

Hypothèses utilisées dans l’étude de faisabilité

Coûts décaissés globaux

Personnes qualifiées

Louis-Pierre Gignac, ing., de GSMI, une personne qualifiée indépendante aux termes du Règlement 43-101, a lu et approuvé les sections techniques du présent communiqué. Les personnes qualifiées suivantes seront responsables de la préparation de leurs sections respectives du rapport technique qui sera préparé conformément au Règlement 43-101, et elles ont examiné et approuvé le présent communiqué.

Rapport technique

La société prévoit déposer un rapport technique conformément au Règlement 43-101 dans SEDAR dans les 45 jours de la date du présent communiqué. Les lecteurs sont avisés que les conclusions, projections et estimations établies dans le présent communiqué sont assujettis à d’importantes réserves, hypothèses et exclusions, qui sont toutes décrites en détail dans l’étude de faisabilité et le rapport technique. Pour bien comprendre l’information sommaire figurant dans le présent communiqué, l’intégralité du rapport technique qui sera déposé dans SEDAR doit être lue.

AU SUJET DE HIGHLAND

Highland Copper Company Inc. est une entreprise canadienne axée sur l’exploration et la mise en valeur de projets cuprifères dans la péninsule supérieure du Michigan (États-Unis). La société détient le gisement de Copperwood par l’entremise de baux d’exploitation minière de longue durée. Elle détient également des droits de superficie lui donnant accès au gisement et à de l’espace pour les infrastructures requises. La société a 472 933 689 actions ordinaires émises et en circulation. Ses actions ordinaires sont inscrites à la Bourse de croissance TSX sous le symbole « HI » et se négocient sur le marché de croissance OTCQB sous le symbole « HDRSF ». Plus d’information sur la société est disponible sur le site web de cette dernière au www.highlandcopper.com et dans SEDAR au www.sedar.com.

MISE EN GARDE RELATIVE AUX ÉNONCÉS PROSPECTIFS

Le présent communiqué contient certains « énoncés prospectifs » au sens des lois canadiennes sur les valeurs mobilières pertinentes. Ces énoncés prospectifs sont faits en date du présent communiqué, et Highland n’assume aucune obligation de mettre à jour ou de réviser ces énoncés prospectifs, ni ne prévoit le faire, sauf si des lois pertinentes sur les valeurs mobilières l’exigent. Les énoncés prospectifs concernent des évènements ou rendements futurs et reflètent les attentes ou estimations de la direction de la société concernant des évènements futurs et comprennent, sans toutefois s’y limiter, de l’information concernant l’estimation de réserves minérales et de ressources minérales, la conversion de ressources minérales en réserves minérales, le moment prévu du début de la construction de la mine Copperwood, la capacité de Highland de contracter la dette nécessaire et d’obtenir l’apport en capital nécessaire pour le projet, la concrétisation des estimations des ressources minérales, le moment et l’ampleur de la production future estimée, les coûts de production, les dépenses d’immobilisations, le succès des activités d’extraction, la durée de vie de la mine, les risques environnementaux, le moment de l’obtention de permis, le moment et les modalités d’une entente d’achat d’électricité, des dépenses de remise en état non anticipées, des litiges ou réclamations touchant à des titres et des limites de la couverture d’assurance. Dans certains cas, les énoncés prospectifs sont signalés par l’utilisation de termes comme « planifie », « s’attend à » ou « ne s’attend pas à », « est prévu », « prévision », « budget », « anticipé », « estimations », « projections », « entend », « anticipe » ou « n’anticipe pas », « croit », ou des variations de ces termes ou des énoncés selon lesquels certains évènements, actions ou résultats « peuvent », « pourraient », « devraient » ou « vont se matérialiser », « se produire » ou « être atteints », ou la forme négative de ces termes ou des termes semblables. Dans le présent document, certains énoncés prospectifs sont signalés par des termes incluant « prévu », « planifier », « planifié », « estimé », « projections », « projeté » et « attendu ». Les énoncés prospectifs reposent sur un certain nombre d’hypothèses qui pourraient s’avérer incorrectes, y compris, sans toutefois s’y limiter, le potentiel de mise en valeur du projet Copperwood et les prix des métaux et taux de change actuels et futurs. De par leur nature, les énoncés prospectifs sont associés à différents risques connus et inconnus, des incertitudes et d’autres facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats, rendements ou réalisations réels de la société diffèrent substantiellement des résultats, rendements ou réalisations futurs exprimés ou sous-entendus par les énoncés prospectifs. Ces facteurs comprennent, sans toutefois s’y limiter, des changements des paramètres du projet au fil de l’évolution des plans, les prix futurs de marchandises et des variations possibles des réserves minérales.

MISE EN GARDE À L’INTENTION DES INVESTISSEURS DES ÉTATS-UNIS

Highland avise les investisseurs des États-Unis que le présent communiqué fait référence à des ressources « mesurées », « indiquées » et « présumées ». Toutes les estimations de ressources ont été faites en conformité au Règlement 43-101, un règlement élaboré par les Autorités canadiennes en valeurs mobilières, qui établit les normes pour toute divulgation publique faite par un émetteur d’information scientifique et technique concernant des projets miniers. Les normes canadiennes diffèrent substantiellement des exigences de la Securities and Exchange Commission (SEC) des ÉtatsUnis, et l’information sur les ressources contenue dans les présentes pourrait ne pas être comparable à l’information similaire divulguée par des entreprises des États-Unis. En particulier, sans toutefois limiter le caractère général de ce qui précède, le terme « ressources » n’équivaut pas au terme « réserves ». Les « ressources présumées » comportent une grande part d’incertitude quant à leur existence et la faisabilité de leur exploitation, des points de vue économique et juridique. Il ne faut pas supposer que les ressources présumées, en tout ou en partie, seront un jour promues à une catégorie supérieure. Les investisseurs des États-Unis sont avertis de ne pas supposer que les ressources présumées, en tout ou en partie, existent ou que leur exploitation est réalisable des points de vue économique et juridique. Les investisseurs des États-Unis sont également avertis de ne pas supposer que des ressources minérales mesurées ou indiquées d’un gisement se transformeront nécessairement, en tout ou en partie, en réserves minérales.

La Bourse de croissance TSX et son fournisseur de services de réglementation (comme ce terme est défini dans les politiques de la Bourse de croissance TSX) n’assument aucune responsabilité quant à l’adéquation ou à l’exactitude du présent communiqué.

Pour plus de renseignements, veuillez communiquer avec les personnes suivantes :
Denis Miville-Deschênes, président et chef de la direction
David Charles, directeur, relations avec les investisseurs
Téléphone : 1 450 677 2455
Courriel : info@highlandcopper.com
Site web : www.highlandcopper.com